Les contrerimes, de Paul-Jean Toulet

Quelques mots sur l'œuvre :

Paul-Jean Toulet

Publiée en 1921, Les contrerimes est une œuvre poétique de Paul-Jean Toulet.

Le recueil Les contrerimes (1921) :

— Ainsi, ce chemin de nuage.

— À l'Alcazar neuf, où don Jayme.

— À Londres je connus Bella.

— Amarissimes.

— Au détour de la rue étroite.

— Avril, dont l'odeur nous augure.

— Bayonne ! Un pas sous les Arceaux.

— Carthame chatoyant, cinabre.

— Ce fut par un soir de l'automne.

— Ces roses pour moi destinées.

— C'était dans les vapeurs du nard.

— C'était longtemps avant la guerre.

— C'était sur un chemin crayeux.

— Cet huissier, qui jetait, l'été.

— Chevaux de bois.

— Comme à ce roi laconien.

— Comme les dieux gavant leur panse.

— Dans la rue-des-Deux-Décadis.

— Dans le lit vaste et dévasté.

— Dans le silencieux automne.

— Dessous la courtine mouillée.

— De tout ce gala de province.

— Douce plage où naquit mon âme.

— D'un noir éclair mêlés, il semble.

— Éléphant de Paris.

— Embrassez-moi, petite fille.

— Enfin, puisque c'est Sa demeure.

— En souvenir des grandes Indes.

— Géronte d'une autre Isabelle.

— Il pleuvait. Les tristes étoiles.

— In memoriam J. G. M.

— Iris, à son brillant mouchoir.

— J'ai beau trouver bien sympathique.

— J'ai vu le Diable, l'autre nuit.

— La première fois.

— La vie est plus vaine une image.

— Le coucou chante.

— Le microbe : Botulinus.

— Le sonneur se suspend, s'élance.

— L'immortelle, et l'œillet de mer.

— L'ingénue.

— Me rendras-tu, rivage basque.

— Molle rive dont le dessin.

— Nous jetâmes l'ancre, Madame.

— Ô jour qui meurs à songer d'elle.

— On descendrait, si vous l'osiez.

— Ô poète, à quoi bon chercher.

— Pâle matin de Février.

— Pour une dame imaginaire.

— Princes de la Chine.

— Quand l'âge, à me fondre en débris.

— Quel pas sur le pavé boueux.

— Rêves d'enfant.

— Saigon : entre un ciel d'escarboucle.

— Sur l'océan couleur de fer.

— Tandis qu'à l'argile au flanc vert.

— Tel variait au jour changeant.

— Toi pour qui les dieux du mystère.

— Toi qu'empourprait l'âtre d'hiver.

— Tout ainsi que ces pommes.

— Toute allégresse a son défaut.

— Trottoir de l'Élysé'-Palace.

— Un Jurançon 93.

— Vous qui retournez du Cathai.

Ses poèmes classés par œuvres :

— Romances sans musique (1915).