Bonheur, de Paul Verlaine

— Après la chose faite, après le coup porté.

— Après le départ des cloches.

— Bon pauvre, ton vêtement est léger.

— Ce que j'ai dit, je ne le reprends pas.

— Ces vers durent être faits.

— De plus, cette ignorance de Vous.

— Guerrière, militaire et virile en tout point.

— Immédiatement après le salut somptueux.

— J'ai dit à l'esprit vain, à l'ostentation.

— Je voudrais, si ma vie était encore à faire.

— La cathédrale est majestueuse.

— L'adultère, celui du moins codifié.

— L'amitié entre homme et femme est divine.

— L'amour de la Patrie.

— La neige à travers la brume.

— La vie est bien sévère.

— L'ennui de vivre avec le monde.

— Le sort fantasque qui me gâte à sa manière.

— Les plus belles voix.

— L'homme pauvre du cœur est-il si rare.

— L'incroyable, l'unique horreur de pardonner.

— L'indulgence qui n'est pas de l'indifférence.

— L'autel bas s'orne de hautes mauves.

— Maintenant, un gouffre du Bonheur.

— Mon ami, ma plus belle amitié.

— Ô j'ai froid d'un froid de glace.

— Prêtres de Jésus-Christ, la vérité vous garde.

— Puis, déjà très anciens.

— Seigneur, vous m'avez laissé vivre.

— Sois de bronze et de marbre.

— Tu n'es pas vaincu, sinon par le Seigneur.

— Un projet de mon âge mûr.

— Un scrupule qui m'a l'air sot.

— Voix de Gabriel.

— Vous m'avez demandé quelques vers sur Amour.

— Premiers vers (1864).
— Poèmes saturniens (1866).
— Fêtes galantes (1869).
— La bonne chanson (1872).
— Romances sans paroles (1874).
— Sagesse (1881).
— Jadis et naguère (1884).
— Amour (1888).
— Parallèlement (1889).
— Chansons pour elle (1891).
— Liturgies intimes (1892).
— Odes en son honneur (1893).
— Chair (1896).