Il penseroso, d'Henri-Frédéric Amiel

Quelques mots sur l'œuvre :

Henri-Frédéric Amiel

Publiée en 1858, Il penseroso est une œuvre poétique d'Henri-Frédéric Amiel.

Le recueil Il penseroso (1858) :

— À chaque jour suffit sa peine.
— À demain les affaires.
— Ce que veut l'amitié.
— Dédicace.
— Dépendance dangereuse.
— Donner et avoir.
— Donner et avoir (2).
— Droit et devoir.
— Droit et devoir (2).
— D'une pierre trois coups.
— La bonne critique.
— La bouderie.
— La chose amère.
— La double croissance.
— La meilleure finesse.
— La négligence.
— La passion de l'inutile.
— La rêverie.
— La vie intérieure.
— Le bonheur.
— Le capital primitif.
— Le déchiffrement des esprits.
— Le feu follet.
— Le moyen de se connaître.
— Le moyen pour réussir.
— Le nuage grandissant.
— Le plaisir le plus pur.
— Le progrès de l'étude.
— Les esprits revêches.
— Les habiles.
— L'estime.
— L'homme de désir.
— L'imitation.
— L'insouciance acquise.
— Mesure de la pénétration.
— Notre chef-d'œuvre.
— Ruse du cœur.
— Sans le savoir.
— Un art négligé.
— Un grain de sagesse.

Autre œuvre d'Henri-Frédéric Amiel :

— Grains de mil (1854).