René-François Sully Prudhomme

Quelques mots sur l'auteur :

Poète français (Prix Nobel de littérature en 1901) né le 16 mars 1839 à Paris, René-François Sully Prudhomme est décédé le 6 septembre 1907 à Châtenay-Malabry dans les Hauts-de-Seine.

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Les 204 poèmes de René-François Sully Prudhomme :

— À Auguste Brachet.

— Abdication.

— À Kant.

— À l'océan.

— À ma sœur.

— À Ronsard.

— À Théophile Gautier.

— Au bord de l'eau.

— Au désir.

— Au jour le jour.

— Au prodigue.

— Aux amis inconnus.

— Aux conscrits.

— Aux poètes futurs.

— Aux Tuileries.

— À vingt ans.

— Bonne mort.

— Ce qui dure.

— Chagrin d'automne.

— Chez l'antiquaire.

— Combats intimes.

— Conseil.

— Conseil (I).

— Consolation.

— Corps et Âmes.

— Couples maudits.

— Cri perdu.

— Damnation.

— Dans l'abîme.

— Déception.

— Déclin d'amour.

— Défaillance et scrupule.

— De loin.

— Dernière solitude.

— Dernières vacances.

— Distraction.

— Douceur d'avril.

— Éclaircie.

— Effet de nuit.

— En avant.

— En deuil.

— Enfantillage.

— Envoi.

— En voyage.

— Éther.

— Évolution.

— Fatalité.

— Fin du rêve.

— Fleur sans soleil.

— Fort en thème.

— Hermaphrodite.

— Homo sum.

— Hora prima.

— Ici-bas.

— Il y a longtemps.

— Inquiétude.

— Intus.

— Invitation à la valse.

— Jaloux du printemps.

— Je ne dois plus la voir.

— Joies sans causes.

— Jours lointains.

— Juin.

— La beauté.

— L'habitude.

— La bouture.

— La chanson des métiers.

— La colombe et le lis.

— La confession.

— La coupe.

— L'agonie.

— La folle.

— La Forme.

— La grande allée.

— La Grande Chartreuse.

— La grande Ourse.

— La joie.

— La laide.

— L'alphabet.

— La lutte.

— La lyre et les doigts.

— La Malade.

— L'Âme.

— La Mémoire.

— La mer.

— L'amour maternel.

— La note.

— La patrie.

— La pensée.

— La prière.

— La reine au bal.

— La roue.

— L'art et l'amour.

— L'art sauveur.

— L'art trahi.

— La terre et l'enfant.

— L'automne.

— La valse.

— La vertu.

— La vie de loin.

— La vieillesse.

— La voie lactée.

— La volupté.

— L'axe du monde.

— Le conscrit.

— Le cygne.

— Le dernier adieu.

— Le doute.

— Le fer.

— Le lit de Procuste.

— Le meilleur moment des amours.

— Le Missel.

— Le monde à nu.

— Le monde des âmes.

— Le nom.

— L'épée.

— Le peuple s'amuse.

— L'épousée.

— Le premier deuil.

— Le rendez-vous.

— Le réveil.

— Le rire.

— Les ailes.

— Les amours terrestres.

— Les blessures.

— Les caresses.

— Les chaînes.

— Les Danaïdes.

— Les deux chutes.

— Les deux vertiges.

— Les Dieux.

— Les fils.

— Le signe.

— Les infidèles.

— Les serres et les bois.

— Les stalactites.

— Les téméraires.

— Les vieilles maisons.

— Les yeux.

— Le temps perdu.

— L'étoile au cœur.

— L'étranger.

— Le vase brisé.

— Le vase et l'oiseau.

— Le vent.

— Le volubilis.

— L'idéal.

— L'indifférence.

— L'inspiration.

— L'obstacle.

— L'une d'elles.

— Ma fiancée.

— Mars.

— Midi au village.

— Ne nous plaignons pas.

— Où vont-ils.

— Parfums anciens.

— Passion malheureuse.

— Pèlerinages.

— Pensée perdue.

— Peur d'avare.

— Piété hardie.

— Plus tard.

— Première solitude.

— Prière.

— Prière au printemps.

— Printemps oublié.

— Profanation.

— Quand les heures pour vous.

— Réalisme.

— Renaissance.

— Rencontre.

— Repos.

— Ressemblance.

— Rosées.

— Rouge ou Noire.

— Scrupule.

— Scrupule (I).

— Séparation.

— Sépulture.

— Sieste.

— Si j'étais Dieu.

— Silence.

— Silence et nuit des bois.

— Sonnet - En ces temps où le corps.

— Souhait.

— Soupir.

— Sur la mort.

— Sur l'eau.

— Sursum corda.

— Sur un album.

— Tombeau.

— Tout ou Rien.

— Trahison.

— Trop tard.

— Un bonhomme.

— Une damnée.

— Une larme.

— Un exil.

— Un rendez-vous.

— Un sérail.

— Un songe.

— Un songe (II).

— Vœu.

Ses poèmes classés par œuvres :

— Stances et poèmes (1865).
— Les épreuves (1866).
— Les solitudes (1869).
— Les vaines tendresses (1875).