Les Cariatides, de Théodore de Banville

Quelques mots sur l'œuvre :

Théodore de Banville

Publiée en 1842, Les Cariatides est une œuvre poétique de Théodore de Banville.

Le recueil Les Cariatides (1842) :

— À Amarante.
— À Auguste Supersac.
— À Clymène.
— À Églé.
— À Glycère.
— À Iris.
— À Ismène.
— À Madame Caroline Angebert.
— À ma Mère.
— À ma Mère (2).
— Amour angélique.
— À Philis.
— À Sylvie.
— À une Muse folle.
— Aux amis de Paul.
— À Vénus de Milo.
— À Victor Hugo.
— Bien souvent je revois.
— Clymène.
— Conseil.
— Dernière Angoisse.
— Erato.
— Idolâtrie.
— La Déesse.
— La Lyre morte.
— La nuit de printemps.
— La Renaissance.
— L'Auréole.
— La Vie et la Mort.
— Leïla.
— Le pressoir.
— Les Cariatides.
— Les imprécations d'une Cariatide.
— Le stigmate.
— Loys.
— Même en deuil pour cent trahisons.
— Nostalgie.
— Ô jeune Florentine.
— Pourquoi, courtisane.
— Prosopopée d'une Vénus.
— Sachons adorer ! Sachons lire.
— Sieste.
— Sous bois.
— Trois femmes à la tête blonde.
— Vénus couchée.

Autres œuvres de Théodore de Banville :

— Les Stalactites (1846).
— Les Odelettes (1856).