Antoine-Vincent Arnault

Quelques mots sur l'auteur :

Poète et fabuliste français né le 1er janvier 1766 à Paris, Antoine-Vincent Arnault est décédé le 16 septembre 1834 à Goderville en région Haute-Normandie.

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Les 116 poèmes d'Antoine-Vincent Arnault :

— À brunette.

— Accueillez l'immortel enfant.

— Actéon.

— À Daphné.

— À deux sœurs.

— Adieux.

— À la maman d'une petite fille.

— À Laure B.

— À Madame de Beaufort.

— À M. Creuzé de Lessert.

— Ami de la tranquillité.

— À quelqu'un qui me réveillait.

— Au général Bonaparte.

— Au maître d'un jardin.

— À une boudeuse.

— À une dame.

— À une dame qui m'appelait son frère.

— Auteur aimable autant qu'utile.

— Hercule, le lion et les vermisseaux.

— Épilogue.

— La bouche pleine.

— La chasse au renard.

— La cloche et le carillonneur.

— La couronne et le bonnet de nuit.

— La cruche et la bouteille.

— La feuille.

— La fumée.

— L'aigle et le chapon.

— L'aigle, l'aiglon et le soleil.

— La jalousie.

— La langue du chien.

— La levrette, le chat et le dogue.

— La main droite et la main gauche.

— L'amour.

— L'âne et le cerf.

— La pièce de bœuf.

— L'araignée.

— L'arbre et le jardinier.

— L'arbre exotique et l'arbre indigène.

— La rose humide et vierge.

— La statue de neige.

— La statue renversée.

— Le bonheur.

— Le cachet.

— Le carrosse et la charrette.

— Le chardon et la rose.

— Le chêne et les buissons.

— Le cheval et le pourceau.

— Le chien de chasse.

— Le chien de chasse et le chien de berger.

— Le chien enragé.

— Le chien et le chat.

— Le chien et les puces.

— Le cochon et le guêpier.

— Le colimaçon.

— Le colin-maillard.

— Le coq et le chapon.

— Le coup de fusil.

— L'écureuil qui tourne dans sa cage.

— Le dieu des arts, le dieu des vers.

— Le fer et l'aimant.

— Le fleuve.

— Le hanneton.

— Le jardin des Hespérides.

— Le laboureur et son fils.

— Le lézard et la vipère.

— Le lièvre, la taupe et le hérisson.

— Le loup et sa mère.

— Le melon et la rave.

— Le mulot et l'éléphant.

— L'enfant et le frelon.

— L'enfant et les deux chiens.

— Le papillon, l'abeille et la rose.

— Le printemps.

— Le rat et le vaisseau.

— Le riche et le pauvre.

— Le sage est sujet à l'erreur.

— Les amis à deux pieds.

— Les blés et les fleurs.

— Les braconniers et le lièvre.

— Les brochets.

— Les bulles de savon.

— Les charbonniers, les meuniers, et le marguillier.

— Les chiens qui dansent.

— Les cygnes et les dindons.

— Les dés.

— Les deux dindons.

— Les deux pincettes.

— Les dieux jouant au colin-maillard.

— Le secret de Polichinelle.

— Les éponges.

— Le sermon du curé.

— Les guèbres et l'astronome.

— Le singe et le philosophe.

— Le sirop et les mouches.

— Les larmes du crocodile.

— Les maladroits.

— Le soleil et la chandelle.

— Les ours mal léchés.

— Les querelles des chiens.

— Les questions.

— Les sabots de Polichinelle.

— Les tâches et les paillettes.

— Les trois zones.

— Les vitres cassées.

— Le tas de neige et le tas de boue.

— Le zèbre.

— L'homme et l'écho.

— L'huître et la perle.

— L'huître et le marsouin.

— L'insecte utile et l'insecte nuisible.

— L'œuf de l'aigle.

— L'olive.

— L'ours, le sansonnet, le serpent et le singe.

— Monologue de Selkirk.

— Si ce n'est pas l'amour.

Ses fables et poèmes classés par œuvres :

— Les fables livre I.
— Les fables livre II.
— Les fables livre III.
— Les fables livre IV.
— Les fables livre V.
— Les poésies mêlées (1826).